mercredi 30 septembre 2009

A chaque jour suffit...

Son petit bonheur ! Car il s'agit bien de ça quand nous pouvons nous consacrer à notre hobby, non ?
Donc dans cette rubrique, j'essaierais d'effectuer un compte-rendu plus ou moins régulier de mon activité figurinistique.
Pour hier,
1/ Décapage de figurines Copplestone victimes d'un accident de sous-couche





2/ Soclage de celles-ci et d'un lot préalablement décapé




3/Début des aplats sur 2 répurgateurs pour ma bande de Mordheim




4/ J'en profite pour vous montrer ce que j'utilise pour peindre à part socle et figurine, si besoin est




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La lasure et moi


Euh, comment dire, j'ai un peu laissé ce blog de côté.
Bon alors un copié-collé d'un message laissé sur le forum français de Mordheim concernant l'utilisation de la lasure.

"A mon avis la lasure demande quand même un certain savoir-faire pour des résultats optimums :
- sous-couche blanche (jusqu'ici ça ne paraît pas trop difficile...)
- ébarbage soigneux,
- aplats de couleur les plus propres possibles
- couleurs adaptées à la teinte de lasure utilisée
- la lasure se passe au pinceau, le dipping c'est pour les trolls.

Quelques images pour que chacun  puisse se faire sa propre opinion

- Mon premier essai : par curiosité j'ai pris la première fig qui me passait sous la main, sans ébarber et ça se voit!
Produit utilisé Bondex teinte noyer




Avec le même produit en faisant plus attention




J'ai ensuite essayé le quickshade Army Painter stong tone. A mon humble avis, une jolie escroquerie. On prend un pot de lasure lambda, on divise les quantités par 4 et on multiplie le prix par 2...
Je précise que seul Baldur (l'humain) a été réalisé au quickshade




Autre exemple où les mannikins ( les bonhommes en bois) sont passés au quickshade




Dernier exemple de lasure Army Painter avec des nobz epic. Je pense que ce procédé est encore plus efficace dans les petites échelles




Etape suivante, que je qualifierais de "lasuriage". C'est à dire l'utilisation d'une lasure incolore, diluable à l'au, mélangée à des encres acryliques. Ce qui permet d'adapter la teinte à la couleur de base.
Exemple avec des figurines Copplestone.







Enfin dernier essai en date d'avant-hier. Pas réellement de la lasure mais le principe est le même. Utilisation de médium acrylique mat quasi-pur et d'encres acryliques. Je pense avec ce procédé avoir trouvé la solution qui me convient le mieux.
Hoplite spartiate de chez Foundry"



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samedi 19 septembre 2009

Cent fois sur le métier...




Ceux qui partagent le même loisir que moi comprendront ce dont je veux parler : le "oh shiny complex", qui veut qu'un amateur de jeux avec figurines soit attiré par ce qui est neuf et brillant et donc a tendance à entamer la collection de largement plus d'armées qu'il n'en finira jamais. Je n'échppe pas à la règle, pire même, je dois avouer n'avoir jamais réussi à finir une quelconque armée même si, à la longue je dispose d'un nombre respectable de figurines peintes. Entamons donc la publication d'articles sur ce blog par une présentation d'un début d'armée Empire pour Warhammer Battle et un régiment d'épéistes, the Swords of Averland. Cette fois là la raison de l'échec de cette tentative de réalisation d'armée fut peut-être à chercher dans le schéma de couleurs, peindre du jaune sur du noir n'étant pas précisément ce qu'il y a de plus facile eu égard à l'absence de pouvoir couvrant de la teinte jaune ( et à l'époque la gamme Foundation n'existait pas !).



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Préambule préambulant.

Si la mémoire ne me fait pas défaut, l'âge avançant, mon premier contact avec le petit monde de la figurine fut un article de la revue Historia présentant le travail de Mme Josiane Desfontaines. J'ai en particulier le souvenir fantasmé d'un diorama d'une rue du marais à une époque qui devait correspondre aux aventures de Cyrano. Il faudra bien un jour que j'essaie de retrouver cet article...
Bref, aujourd'hui, quelque 40 ans plus tard, ma fascination pour le monde miniature est toujours restée intacte et en plus entretemps j'ai découvert que l'on pouvait jouer avec ces figurines, ce qui m'a fait rencontrer quelques joyeux drilles encore plus atteints par le syndrome de Peter Pan que moi-même. Cédant aux sirènes de la représentativité virtuelle, je consignerai donc ici les quelques réalisations ludiques et figurinistiques que j'ai pu ou pourrai commettre en espérant que mes lecteurs pourront y trouver un peu d'intérêt.